Ca se passe mal au travail
Bonjour Ă tous, $đ
Hier soir, je me suis faite engueulée comme du poisson pourri par un collégue au travail. C'est un collégue trÚs extraverti et qui rùle tout le temps, et je me suis faite incendiée devant tout le monde pendant à peu prÚs 10 minutes sans pouvoir en placer une.
Pour lui, j'avais fait une erreur, mais j'Ă©tais persuadĂ©e de ne pas m'ĂȘtre trompĂ©e mais je n'ai pas pu en placer une, d'autant que le ton de sa voix et son mĂ©pris m'ont scotchĂ© sur place. Les rares justifications, un peu idiotes, que j'ai avancĂ© n'ont fait que l'Ă©nerver davantage. J'Ă©tais tellement vexĂ©e et touchĂ©e que j'ai pleurĂ© en rentrant chez moi et pourrie la soirĂ©e de tout le monde.
Ce matin, j'ai verifiĂ© mon travail avec un collĂ©gue et...je ne m'Ă©tais pas trompĂ©e, mĂȘme si je navigue un peu Ă vue dans cette partie de mon travail et que je n'explique pas toujours trĂšs clairement ce que je fais.
Cela étant, je me sens toujours aussi mal car je pensais que ce collégue me respectait un minimum et j'ai été trÚs étonnée par son mépris, sa méchanceté et son intransigeance à mon égard.
J'aurais aimé qu'il prenne 5 minutes pour expliquer ce qui lui importait et pour que je lui montre ce que j'avais vraiment fait.
Mais je suis une jeune femme dans un poste subalterne et dispensable, et lui un cadre de 50 ans, dans un poste indispensable, donc surement que je ne pouvais que me tromper et lui avoir raison.
Je suis angoissĂ©e aussi, parce que c'est le genre de collĂ©gue Ă aller raconter Ă tout le monde les "erreurs" des subordonnĂ©s (des larbins ?), mĂȘme si je sais que (au moins sur ce coup lĂ !), je ne me suis pas trompĂ©e.
Voilà , je ne sais pas vraiment quoi en penser, d'autant plus que vous n'aurez que ma version des choses, mais merci néanmoins de m'avoir lu. Si cette situation vous rappelle quelque chose de vécu, j'aurais plaisir à vous lire aussi en retour !
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Hier soir, je me suis faite engueulée comme du poisson pourri par un collégue au travail. C'est un collégue trÚs extraverti et qui rùle tout le temps, et je me suis faite incendiée devant tout le monde pendant à peu prÚs 10 minutes sans pouvoir en placer une.
Pour lui, j'avais fait une erreur, mais j'Ă©tais persuadĂ©e de ne pas m'ĂȘtre trompĂ©e mais je n'ai pas pu en placer une, d'autant que le ton de sa voix et son mĂ©pris m'ont scotchĂ© sur place. Les rares justifications, un peu idiotes, que j'ai avancĂ© n'ont fait que l'Ă©nerver davantage. J'Ă©tais tellement vexĂ©e et touchĂ©e que j'ai pleurĂ© en rentrant chez moi et pourrie la soirĂ©e de tout le monde.
Ce matin, j'ai verifiĂ© mon travail avec un collĂ©gue et...je ne m'Ă©tais pas trompĂ©e, mĂȘme si je navigue un peu Ă vue dans cette partie de mon travail et que je n'explique pas toujours trĂšs clairement ce que je fais.
Cela étant, je me sens toujours aussi mal car je pensais que ce collégue me respectait un minimum et j'ai été trÚs étonnée par son mépris, sa méchanceté et son intransigeance à mon égard.
J'aurais aimé qu'il prenne 5 minutes pour expliquer ce qui lui importait et pour que je lui montre ce que j'avais vraiment fait.
Mais je suis une jeune femme dans un poste subalterne et dispensable, et lui un cadre de 50 ans, dans un poste indispensable, donc surement que je ne pouvais que me tromper et lui avoir raison.
Je suis angoissĂ©e aussi, parce que c'est le genre de collĂ©gue Ă aller raconter Ă tout le monde les "erreurs" des subordonnĂ©s (des larbins ?), mĂȘme si je sais que (au moins sur ce coup lĂ !), je ne me suis pas trompĂ©e.
Voilà , je ne sais pas vraiment quoi en penser, d'autant plus que vous n'aurez que ma version des choses, mais merci néanmoins de m'avoir lu. Si cette situation vous rappelle quelque chose de vécu, j'aurais plaisir à vous lire aussi en retour !
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