Le centenaire......
Majestueux,
surplombant ta montagne
tu plonges tes pas musclés, assurés
entre les sentiers montant et descendant
inépuisablement, inexorablement au grés des détours,
sans détours,
à travers les bois, ou les espaces déserts, des sauts sur les rochers qui nous dessinent un chemin sur le petit torrent,
pour aller voir le lac à rêves...........
Patriache dominant ces terres secrètes
ton regard d'eau apaise
et arrondit mon chemin.........
Veillant seul, sur ton troupeau,
tu souris au soleil jusqu'à la lune,
et ton regard me renvoie la chaleur
d'un automne.....
où scintille ta main
dans la mienne........
elle est chaude ta main,
la mienne si froide.... Papy.......
De là haut
tu ris de la vanité des hommes
et me dis
de ton sourire lumineux.....
que la montagne parle ........
qu'elle se fait l'écho de nos voix dans l'infinitude........
Viens contempler ce paysage
verdoyant,
où se mêlent en douceur
la rigueur, le froid....... et la divine beauté....
Le centenaire..........
est un morceau d'histoire,
dans ce monde,
et dans mon coeur bouillonnant
je sens juste que j'ai les mains gelées
z'aujourd'hui quand j'irais contempler à nouveau,
notre tableau complice...........
Je t'aime Papy pour le temps "passé" avec toi ,
je t'aime car d'un pieu mensonge je t'ai voulu centenaire......
pour te garder prêt de moi..........
indéfiniment d'amour...............
Tu es plus haut que la plus haute des montagnes maintenant.
surplombant ta montagne
tu plonges tes pas musclés, assurés
entre les sentiers montant et descendant
inépuisablement, inexorablement au grés des détours,
sans détours,
à travers les bois, ou les espaces déserts, des sauts sur les rochers qui nous dessinent un chemin sur le petit torrent,
pour aller voir le lac à rêves...........
Patriache dominant ces terres secrètes
ton regard d'eau apaise
et arrondit mon chemin.........
Veillant seul, sur ton troupeau,
tu souris au soleil jusqu'à la lune,
et ton regard me renvoie la chaleur
d'un automne.....
où scintille ta main
dans la mienne........
elle est chaude ta main,
la mienne si froide.... Papy.......
De là haut
tu ris de la vanité des hommes
et me dis
de ton sourire lumineux.....
que la montagne parle ........
qu'elle se fait l'écho de nos voix dans l'infinitude........
Viens contempler ce paysage
verdoyant,
où se mêlent en douceur
la rigueur, le froid....... et la divine beauté....
Le centenaire..........
est un morceau d'histoire,
dans ce monde,
et dans mon coeur bouillonnant
je sens juste que j'ai les mains gelées
z'aujourd'hui quand j'irais contempler à nouveau,
notre tableau complice...........
Je t'aime Papy pour le temps "passé" avec toi ,
je t'aime car d'un pieu mensonge je t'ai voulu centenaire......
pour te garder prêt de moi..........
indéfiniment d'amour...............
Tu es plus haut que la plus haute des montagnes maintenant.
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